•  

    Over-Blog

     

    Isabelle de Borchgrave
    Medici. Une renaissance en papier d'Isabelle de Borchgrave.

    C'est la première fois qu'une exposition importante des oeuvres de l'artiste belge Isabelle de Borchgrave étatit organisée dans son pays d'origine. Vingt-neuf costumes, qui ont déjà été exposés au Palazzo Medici à Florence au printemps 2009, sont en effet été présentés au Musée du Cinquantenaire du 20 novembre au 29 aout 2010. Ces créations, réalisées en papier coupé, plié, collé et peint à la main, selon une technique du trompe-l'oeil qui leur donne toute l'apparence de la réalité, sont inspirées par la mode florentine en usage à la cour des Médicis à l'époque de Laurent le Magnifique (1449-1492). Du drapé aux coloris en passant par la richesse des coiffes et la sophistication des bijoux, l'illusion est absolue. Isabelle de Borchgrave, avec la rigueur d'une historienne de l'art, s'appuyant sur une recherche méticuleuse, imite à la perfection la soie, le velours, les broderies ou la dentelle de jadis. Ses oeuvres, d'une incroyable richesse, plongent le spectateur au coeur d'une époque disparue.

    Over-Blog

     

    Isabelle de Borchgrave
    Medici, renaissance in paper

    It's the first time that a major exhibition of the Belgian artist Isabelle de Borchgrave was organized in her country of origin. Twenty-nine costumes, which have already been exposed to Palazzo Medici in Florence in spring 2009 have been presented to the Museum "Cinquantenaire " in Brussels (BE) from November 20th to August 29th, 2010.
    These creations, made of paper cut, folded, stuck and painted by hand, using a technique of sham-illusion which gives them all the appearance of the reality, are inspired by the Florentine fashion used at the Medici ‘s court at the time of Lorenzo the Magnificent (1449-1492). From the colors of fabric to the richness of the caps and sophistication of jewelry, the illusion is absolute.
    Isabelle de Borchgrave, with the rigor of an art historian, based on meticulous research, imitates perfectly silk, velvet, embroidery or lace of the work of the ancients. Her works, of an incredible wealth plunge the spectator in the Heart of a vanished age




    votre commentaire

  • votre commentaire
  • Au cœur des ténèbres (titre original : Heart of Darkness) est une longue nouvelle de Joseph Conrad, parue en feuilleton dans une revue en 1899, puis au sein d'un recueil de trois récits, Youth (jeunesse), en 1902.

    Elle relate le voyage d'un jeune officier de marine marchande britannique qui remonte le cours d'un fleuve au cœur de l'Afrique noire. Embauché par une compagnie belge, il doit rétablir des liens commerciaux avec le directeur d'un comptoir au cœur de la jungle, Kurtz, très efficace collecteur d'ivoire, mais dont on est sans nouvelles. Le périple se présente comme un lent éloignement de la civilisation et de l'humanité vers les aspects les plus sauvages et les plus primitifs de l'homme, à travers à la fois l'enfoncement dans une nature impénétrable et potentiellement menaçante, et la découverte progressive de la fascinante et très sombre personnalité de Kurtz.

    Inspirée par le récit In darkest Africa de Stanley relatant l'expédition pour retrouver l'aventurier Oscar Schnitzer, dont Conrad avait eu connaissance au Congo, l'intrigue générale du texte présente certains points communs avec celle de la nouvelle intitulée L'Homme qui voulut être roi de Rudyard Kipling, texte paru en 1888, et dont une adaptation filmique fut réalisée en 1975 sous la direction de John Huston.

    J'ai vu le démon de la violence, le démon du lucre, le démon du désir ; et, par tous les cieux !  Comme ils étaient puissant, lubriques, avec des yeux rouges, et comme ils secouaient et menaient les hommpes - les hommes, en effet. Mais, alors que je me tenais debout sur cette colline, je devinais que sous le soleil aveuglant de cetterre,  j'allais rencortrer un demon aux yuex faussement fragiles,k celui d'une folie avide et impitaoyable.


    1 commentaire
  • Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure.Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute.
    C'est ça la relativité.
    Albert Einstein

    votre commentaire

  • votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique